The HOPE buoy baptised in Nouméa
The HOPE intelligent buoy was baptized on Friday March 1 at the Quai des Scientifiques in Nouméa. The occasion to celebrate its deployment at sea and the start of the HOPE project's fieldwork campaign.
French version below
After 3 years of reflection and construction, the time has come for the HOPE project to begin the fieldwork. And it starts with the baptism of the HOPE profiling buoy, to bring it good luck for the great scientific adventure that lies ahead! For the occasion, Sophie Bonnet, project coordinator, asked France Bailly, IRD representative in New Caledonia, to be the buoy's godmother.
The ceremony was attended by some sixty people, including the French oceanographic fleet from IFREMER, Sora and Sorecal, who enabled the buoy to be deployed at sea, members of Mobilis, the INSU Technical Division and many IRD staff, who were a great help to the project.
The 5-meter-diameter, 8.5-meter-high buoy is equipped with a dozen sensors and automatons. It is self-sufficient in energy, being also equipped with 32 solar panels, 2 wind turbines and fuel cells. 6 satellite mooring lines instrumented with dozens of sensors will be deployed over a radius of 2 km2 around the buoy, enabling the ocean to be scanned several times a day from the surface to the bottom to study the complexity of the processes involved in carbon storage... for the first time, thanks to the buoy, certain data will be sent to earth in real time... A technological feat well worth a champagne baptism!
French version
La bouée intelligente HOPE a été baptisée le vendredi 1 mars au quai des scientifiques à Nouméa. L’occasion de célébrer son déploiement en mer et le début de la campagne terrain du projet HOPE.
Après 3 ans de réflexion et de construction, le moment est venu d’entamer la partie terrain du projet HOPE. Et cela commence par le baptême de la bouée profileuse HOPE afin de lui porter chance pour la grande aventure scientifique qui l’attend ! Pour l’occasion, Sophie Bonnet, coordinatrice du projet, a souhaité faire appel à France Bailly, représentante de l’IRD en Nouvelle-Calédonie, pour être la marraine de la bouée.
La cérémonie a réuni une soixantaine de personnes dont la Flotte océanographique française de l’IFREMER et la Sora et Sorecal, qui ont permis le déploiement en mer de la bouée, les membres de Mobilis, la Division Technique de l’INSU ainsi que de nombreux agents de l’IRD qui ont été d’une grande aide pour le projet.
Cette bouée de 5 mètres de diamètre et 8,5 mètres de haut est dotée d’une dizaine de capteurs et d’automates. Elle est autonome en énergie, étant également équipée de 32 panneaux solaires, 2 éoliennes et des piles à combustibles. 6 lignes de mouillages satellites instrumentées de dizaines de capteurs seront déployées sur un rayon de 2 km2 autour de la bouée, permettant de scruter l’océan plusieurs fois par jour de la surface jusqu’au fond pour étudier la complexité des processus mis en jeu dans le stockage du carbone… pour la première fois grâce à la bouée, certaines données seront envoyées à la terre en temps réel… Une prouesse technologique qui mérite bien un baptême au champagne !